Deux petites Syriennes au milieu d’immeubles à moitié démolis dans le chantier de Tarlabasi 360. Les plus miséreux des environ 500.000 réfugiés syriens à Istanbul (en 2014) sont les derniers à s’installer à Tarlabaşı, quartier des déshérités. Une décision de justice avait ordonné l’arrêt du chanter, et en avril 2014, des familles syriennes s’étaient installées dans ces ruines sans eau, ni électricité, ni vitres. Elles y accédaient à la faveur des nombreuses ouvertures pratiquées dans les clôtures entourant le chantier par les prostituées et les petits trafiquants. Avril 2014