Le nom de Şeref tracé sur un mur du « fumoir » aménagé à l’abri des regards par lui et ses potes dans un immeuble à moitié démoli dans le chantier du programme de rénovation urbaine Tarlabaşı 360. Le rêve de Şeref, comme de la plupart des mauvais garçons de Tarlabaşı, était de partir de ce quartier pour rejoindre l’Europe. En 2015, mon facilitateur de 2014 avait, en effet, quitté Tarlabaşı mais malheureusement pour une cellule de prison à Erzincan. août 2014